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Lundi 10 Janvier 2011 - Lu 28 fois
Catégories : Actus de l'emploi
1700 salariés de Sanofi-Aventis ont appris leur licenciement en appellant une boite vocale automatique
Surveillez vos cartes de vœux, elles peuvent contenir de mauvaises nouvelles. C'est ce qui est arrivé à 1700 salariés américain du géant pharmaceutique Sanofi-Aventis. Le 30 novembre, la direction des ressources humaines a envoyé un mail aux salariés de l'entreprise leur souhaitant un joyeux Thanksgiving suivi d'un mystérieux message les poussant à surveiller leur boite mail à partir de 5 heures du matin le 2 décembre.
Le jour-dit, ce n'est pas un mais deux mails qui circulent parmi les salariés. Le premier leur demande d'appeler entre 8 heures et 8 heures 30 le numéro 800. Le second leur enjoint de faire la même chose à partir de 8 heures 30. Au bout du fil, une boite vocale automatique qui apprend aux employés du premier groupe qu'ils conservent leur emploi. Ceux de l'autre groupe n'ont pas cette chance: la voix laconique d'un répondeur leur fait savoir qu'ils sont licenciés et leur demande de quitter immédiatement l'entreprise. "La façon dont ils ont fait cela est inhumaine et brutal, a raconté au Huffington Post une employée licenciée. On a l'impression d'être un numéro et non pas un être humain avec des sentiments". Dans le message, aucune explication supplémentaire ni même de possibilité de poser des questions. Seule précision: les salariés seront payés jusqu'au 31 décembre et quelques avantages leur seront accordés.
Dans le même temps, un sous-traitant mandaté par l'entreprise passe au domicile de toutes les personnes licenciées récupérer les ordinateurs, voitures de fonctions et autres effets personnels appartenant à l'entreprise.
"Annoncer ce genre de nouvelle sur une boite vocale n'est pas l'idéal"
Jack Cox, en charge des relations presse du groupe pharmaceutique aux Etats-Unis, s'est justifié dans le Huffigton Post: "Nous sommes conscients qu'annoncer ce genre de nouvelle sur une boite vocale n'est pas l'idéal mais étant donné l'ampleur et la portée de ces [...]
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